L'hiver vient comme un refrain, l'hiver avec sa force de vous rompre,
l'hiver a une force d'un livre. Il est écrit de sensations burlesques,
le dépouillement de votre saison, il a un air frais comme une nouvelle
vie rapace. Il vous tient debout en vous gelant tout cru dans votre peur
de vivre...
L'hiver pénètre votre temps, vos lointaines rêveries et vous pleut dessus.
L'hiver a un paysage d'étonnement à offrir au passant qui s'arrête.
Le passant n'aime que passer c'est ça le hic, l'hiver l'invite contre une contrainte de consciences.
Dans un alpage de silence, se peut qu'une âme sourde sa beauté dans votre perte. L'hibernation est une patiente profonde.
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