dimanche 31 mai 2015

solitude

Humiliations, démolitions !
L'esseulement découle de tels coups...
Mon âme crie dans mon corps comme des flammes ravageuses.
L'infortune marque mon trajet et me tranche le coeur.
Je suis ouvert à l'agonie.
Je vais possédé par la poisse.
La survie m'a suivie et bien des embrouilles m'entortillent.
survie aggravée des déconvenues des marques au fer rouge.
Le monde est une prison à ciel masqué.
Tous les jours sont sombres et cendreux.
Le temps avance en racaille, le monde est un peuple de sangsues.
Je suis dans ce sort.

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